NOUVELLES ACTIONS À VENIR.

Samedi 4 décembre 2010 : Action contre la fourrure


Samedi 4 décembre 2010 était une journée de rassemblement dans plusieurs villes françaises pour dénoncer tous les sévices qui sont commis sur des millions d’animaux pour produire de la fourrure.

Comme nous le prouvent de nombreux reportages toujours en caméra cachée, toutes les fourrures sont le fruit de la souffrance, par des animaux piégés dans la nature, ou élevés dans des conditions abominables (cages, cannibalisme), sans parler du dépeçage et/ou de la mise à mort. Beaucoup de gens ignorent ou ne veulent pas savoir la réalité des faits, pour profiter d'un petit confort, de l'esthétisme ou d'un look de nanti. Malgré la prise de conscience, il existe aujourd'hui une inquiétante tentative de banalisation de la fourrure, notamment d'importation.


L’opération "Fléchage anti-fourrure" dans les rues piétonnes du centre-ville de Dijon a été organisée par l’association dijonnaise de défense des animaux Combactive ; huit personnes se sont postées ou ont déambulé, avec des pancartes d'information.


L’objectif était de "montrer du doigt" (à l’aide des affiches-flèches) les porteurs et porteuses de fourrures.


L’opération s’est déroulée pendant 3 heures avec des passants souvent très réceptifs et compatissants ; beaucoup d’encouragements ont été lancés pour soutenir les "flécheurs".


Quant aux "fléchés"  certains se sont rendus compte de la cruauté de la fabrication de leur vêtement, souvent hérité.

Seuls quelques irréductibles  nous ont lancé : "Moi la souffrance des bestioles j’en ai rien à faire, j’trouve que la fourrure me va bien, c’est tout ce qui m’importe". Rien à redire à cela !


Devant le succès, l’action sera reconduite d’ici quelques semaines.


Il est important de mettre en garde la population qu’il n’y a pas que la haute couture qui utilise de la vraie fourrure, le prêt-à- porter également. Une grande partie des personnes abordées (surtout des jeunes filles) n’ont pas été capables d’identifier la nature des cols de leur propre vêtement, acheté en pensant que c'était de la fausse fourrure. Il faut rappeler qu'avec une main-d'oeuvre asiatique bon marché et l'utilisation de chats ou chiens, la vraie fourrure en morceaux revient moins chère qu’une imitation de qualité. Donc les cols, les bottines, les chapeaux, etc... mêmes à faibles coûts peuvent être fabriqués à partir d’animaux sacrifiés (pour reconnaître la vraie de la fausse fourrure, prenez 2 ou 3 poils et brûlez- les ; si l’odeur dégagée sent le plastique, c’est gagné, sinon NE SOYEZ PAS COMPLICE DE CETTE ABOMINATION, laissez le vêtement dans la boutique).


PS : Un rapport scientifique européen dément d’ailleurs le rapport entre bien-être animal et qualité de la fourrure, comme voudraient le faire croire les fourreurs. Les animaux sont en effet abattus à l’âge de 6 ou 7 mois, après leur mue hivernale, qui masquera tous les défauts de leur pelage.


Citation de Gandhi : « On peut juger de la grandeur d'une nation par la façon dont les animaux y sont traités ».

Samedi 17 juillet 2010 : Stand sur l'abandon, la stérilisation et l'adoption



Samedi 17 juillet 2010, de 14h à 18h, un stand a été tenu place François Rude à Dijon pour dénoncer les abandons d'animaux qui ont lieu chaque année et pour sensibiliser la population sur la nécessité de la stérilisation ainsi que sur l'adoption plutôt que l'achat en élevage ou en animalerie.

Pas beaucoup d'arrêts mais néanmoins quelques personnes attirées par les affiches accrocheuses et les peluches, sacs, cartes de la boutique en coin de table.

Des passants généreux qui n'ont pas hésité à donner un peu d'argent. À la fin de la journée, la somme récoltée a permis de stériliser un chat. Merci !


Samedi 22 mai 2010 : cinq associations réunies pour les animaux


Samedi 22 mai 2010, de 14h à 19h place François Rude à Dijon, pas moins de cinq associations différentes se sont réunies pour représenter les animaux maltraités, abandonnés, torturés et exploités au quotidien sans pouvoir se défendre.

Ce rassemblement était l'occasion idéale de montrer que la concurrence n'a pas sa place dans le domaine de la cause animale, car si nous ne militons pas forcément de manière identique, notre but reste le même : être la voix des animaux qui ne peuvent se représenter eux-mêmes.

Les associations de Défense du Chat Libre Dijonnais et Chienne de Vie étaient présentes pour sensibiliser la population sur les abandons qui connaissent malheureusement un gros pic à l'approche de la saison estivale et des départs en vacances qu'elle inclut, ainsi que sur la nécessité de stériliser ses petits compagnons pour le bien-être de tous. Elles en ont profité pour proposer à l'adoption les chats et chiens respectifs qui attendent patiemment en famille d'accueil.
http://chienne.de.vie.free.fr/ – Association 'Chienne de Vie' BP5 21320 Pouilly-en-Auxois

L'association Galgos Espoir nous a rejoint après avoir vu l'annonce du rassemblement dans le journal régional. Ses membres se battent au quotidien pour sortir de l'enfer les chiens Galgos aidant à la chasse en Espagne. Ne recevant aucune considération de la part de leurs maîtres, il n'est pas rare qu'ils soient battus, mutilés, torturés, pendus dès que leur prestation n'est plus 'à la hauteur' de ce que l'on attend d'eux. Galgos Espoir les sauve de ces bourreaux sans cœur et les fait adopter par des familles qui sauront les rendre heureux.

Le pôle dijonnais de l'association Droits Des Animaux s'est également mobilisé afin de dénoncer l'exploitation quotidienne que subissent les animaux. Cette association abolitionniste milite chaque jour pour que les droits fondamentaux des animaux soient reconnus et appliqués. Portant le combat sur le terrain, Droits Des Animaux organise des stands ainsi que des actions anti-chasse. Au cours de ce rassemblement, les militants de Droits Des Animaux ont informé et sensibilisé le public à propos de l'exploitation et du massacre des animaux dans tous les domaines de notre consommation tout en promouvant le mode de vie vegan.

Pour ce qui est de l'association Combactive, nous avons décidé d'axer notre stand sur les conditions de vie des animaux dans les cirques, notamment à l'occasion de la venue d'un cirque animalier 2 semaines plus tard sur l'agglomération dijonnaise. Dans le cadre de la campagne 'Pour des cirques sans animaux', nous proposions aux passants de signer la pétition sur ce thème en guise de soutien, ce qu'ils n'ont, pour la plupart, pas rechigné à faire ! Il devient clair que le public commence à se lasser de voir des animaux asservis au nom d'un soi-disant spectacle ! Quoi qu'il en soit, Combactive n'abandonnera pas les animaux esclaves d'une société en mal de dépaysement et de sensations fortes, où le prix à payer pour le profit des uns et le loisir des autres est la liberté. Nous serons leur voix jusqu'au bout !

Le bilan de cette initiative de nous réunir le même jour au même endroit est d'après nous
très positif et c'est avec grand plaisir que nous réitérerions l'expérience !

Samedi 24 avril 2010 : SMAL



Samedi 24 avril 2010, Combactive a relayé la Semaine Mondiale pour la libération des Animaux de Laboratoire afin de dénoncer le sort que subissent de nombreux animaux suppliciés au nom de la Recherche.

Entre 5 et 10 militants étaient présents de 14h à 19h place François Rude à Dijon pour informer et sensibiliser le public sur le quotidien des animaux dits « de laboratoire ». Pour la petite anecdote, nous étions installé juste à côté d'un stand sur la vaccination, et nous tractions presque les uns dos aux autres.

Pour les personnes intéressées, nous proposions un petit sac gratuit d'informations et d'échantillons de produits cosmétiques et d'entretien non testés sur les animaux dont ils pouvaient voir un aperçu du contenu dans une boîte exposée sur le stand.

Étaient également mis à disposition du public :


Si nous avons pu entendre des remarques du style : "les humains d'abord" ou "oh regarde le singe, il bouffe son cadenas ! pfff...", il est tout de même agréable de constater que le public commence à se renseigner sur les produits qu'il achète. Les passants qui s'arrêtaient n'hésitaient pas à signer les pétitions et à se servir en documentation, choqués par les images accrochées au mur... une personne a même versé des larmes !

Comme nous nous y attendions, un jeune chercheur du stand voisin est venu faire un tour sur le nôtre... pour signer la pétition sur les méthodes substitutives ! Il nous a affirmé expérimenter sur les souris et ignorer justement l'existence de méthodes alternatives. Bien plus ouvert d'esprit que nous l'imaginions, il s'est muni de tracts et a promis de faire des recherches sur Internet au sujet de ces-dites méthodes, laissant transparaître toutefois un brin de scepticisme concernant leur efficacité.

Plus tard, une militante s'est installée dans un fauteuil (à défaut de trouver une chaise convenable) pour représenter les animaux suppliciés dans les laboratoires. Les gens étaient intrigués...

Pour résumer, bilan positif, avec quelques personnes intéressées par le sort de ces animaux qui n'ont rien demandé et prêtes à s'investir pour que la situation évolue dans le bon sens.

La lutte continue au quotidien, car ne rien faire, c'est laisser faire !

Merci à tous les militants présents ce jour-là pour leur disponibilité...